J'ai lu quelque part, mais je n'ai plus retrouvé la source (apparemment pas chez Marc Vignal), que les symphonies n° 15 et 16 de Michael sont issues du Ballet-Singspiel Herrmann MH 148, ce qui expliquerait leur gaîté.
Ce ne serait pas étonnant car plusieurs autres symphonies sont issues de sérénades ou de musiques de scène, comme P7 d'après Die Hochzeit auf der Alp, P46 d'après Die Wahreit der Natur, P13 d'après Zaide, P37, P38 et P52 d'après des sérénades