Joseph Haydn (1732-1809) |
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| Joseph WOELFL (Wöelfl) (1773-1812) | |
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Joachim
Messages : 664 Points : 814 Date d'inscription : 20/08/2007 Age : 78 Localisation : Nord
| Sujet: Joseph WOELFL (Wöelfl) (1773-1812) Lun 9 Nov - 12:13 | |
| Joseph Woelfl (Wölfl) est un compositeur et pianiste autrichien né à Salzbourg le 24 décembre 1773 et mort à Londres le 21 mai 1812.
Joseph est le fil de Johann Paul Woelfl, d'abord juriste administratif, "percepteur de la cour" de Hieronimus von Coloredo à Salzbourg, chargé du recouvrement des taxes sur l'alcool et les aliments, puis intendant de l'hôpital St-Johann. Ce qui laisse à penser que la famille vivait dans une relative aisance matérielle.
L'enfant reçut dans sa ville natale l'enseignement de Leopold Mozart (pour le violon notamment) et de Michael Haydn (à la maîtrise de la Cathédrale) respectivement père et frère de deux compositeurs de génie du même nom (Mozart et Haydn). Leopold parle souvent dans sa correspondance du "Sepperl" (en français "p’tit Jo) de l'intendant. Il fait sa première apparition en public, au violon, à l'âge de sept ans. En 1783 il entre à la Kapellhaus, qui est l'école des petits chanteurs de la Cathédrale, où l'enseignement est à la fois musical et général. Il compose son opus 1 à l'âge de treize ans (1786), bien que l'œuvre ne fut publiée qu'en 1795.
Woelfl était très grand (six pieds) et très mince et possédait d'énormes mains qui lui permettaient avec aisance les plus grandes extensions au clavier, jusqu'à l'intervalle de treizième, comme le rapporte le compositeur tchèque Václav Tomášek dans son autobiographie, qui le comparait à un épouvantail. Son caractère joyeux et sociable, lui vaut le surnom de Wölfl (louveteau) extravagant.
C'est en 1790 que son père lui conseille de se rendre à Vienne, pour y parfaire son éducation musicale avec Mozart. Il se lie d'amitié avec Mozart, mais on ignore s'il prend des cours avec ce dernier. Recommandé par Mozart qui l'admirait beaucoup, vers 1792, il entre au service du comte OgiÅski à Zlonin où sont les terres du comte et Varsovie, et où, pendant près de quatre ans, il compose, enseigne la musique et donne ses premiers concerts publics en tant que pianiste. Mais les troubles de 1794, liés à la partition de la Pologne l'obligent à partir, OgiÅski perdant ses terres et sa fortune.
En 1795, âgé de vingt-deux ans, il revient à Vienne et y monte quelques opéras au Théâtre de Vienne alors dirigé par Schikaneder. À sa création, son Der Hollenberg ["La montagne d'Enfer"] (21 novembre 1795) reçoit un certain succès et est même publié en partition réduite chez Artaria. Suivent bientôt, Das Schöne Milchmächen ["La Belle laitière"] (5 janvier 1797) ; Der Kopf ohne Mann ["La tête sans homme"], un opéra-comique monté à Vienne (3 décembre 1798), puis à Prague ; Das trojanische Pferd ["Le cheval de Troie"] opéra-comique (1799).
En 1798, il épouse Thérèse Klemm, actrice et chanteuse au Théâtre National (National Theater). Mais leur vie commune ne sera que de courte durée.
À la même époque, très impressionné par ses talents d'improvisateur et de compositeur, il dédie à Beethoven, ses sonates opus 6. Les œuvres sont comparées plus au style de Clementi qu'à celui de Haydn ou Mozart.
Il devient le principal "rival" de Beethoven, de trois ans son aîné, dans un duel pianistique, comme il y en eut quelques un à l'époque, dans les salons de la villa Grunberg du Baron Raimund Wetzlar von Plankenstern, "devant une société nombreuse mais choisie" (Seyfried).
Les deux hommes semblent se respecter mutuellement, et leur "rivalité" ne pas nuire à une amicale et cordiale joute.
Dans les années 1799 à 1801, le pianiste se produisit à Prague (mars 1799), Brno, Dresde, Mayence, Leipzig, Hanovre, Brunswick, ou Berlin "et partout excitait l'admiration" (Fétis), notamment pour ses facultés de déchiffrage à vue : les pragois furent longtemps conquis par une œuvre de Mozart écrite sur un système à quatre portées réduit sans hésitation par Woelfl ; ou ses improvisations : à Hambourg on le compare à Carl Philipp Emanuel Bach.
À Dresde Ernst Ludwig Gerber, un lexicographe, rapporte qu'en mai 1799, Woelfl dut jouer son concerto opus 43, transposé en ut dièse à cause d'une faute de l'accordeur. Ce qui montre la maîtrise et le talent du musicien...
En septembre 1801, Woelfl s'établit en France à Paris. Il apparaît dans un concert public le 14 février 1802. Le journal de Paris le qualifie de plus grand pianiste d'Europe.
Les Français l'appellent Monsieur Wolf. Il est fort apprécié autant pour ses talents de pianistes que de compositeur. Les éditions Nadermann publient son premier concerto pour piano en 1802 et le deuxième l'année suivante.
Durant l'hiver 1802/03 il effectue une tournée en Belgique et aux Pays-Bas.
Son opéra-comique français, "L'amour Romanesque" est présenté à Paris, au Théâtre Feydeau le 3 mars 1804, avec un grand succès (pas moins de sept représentations). À la même époque il compose aussi des duos pour le pianoforte et la harpe, opus 29 et 37 ; ce dernier est dédié à son ami le grand harpiste français François-Joseph Dizi, qui lui-même arrangea pour flûte et harpe, un Pas de deux, extrait du ballet Alzire.
Les raisons de son soudain départ de France pour l'Angleterre, ne sont pas connues. Il se pourrait que l'accueil tiède de son Fernando ou les Maures (Théâtre Feydeau, 11 février 1805, représentation unique) en soit la cause. Mais, selon Schilling, il s'agirait plutôt du poste qu'il avait de maître de musique de l'impératrice Joséphine, qu'il aurait suivi.
En mai 1805, il est accueilli à Londres triomphalement (concert du 27 mai). C'est dans la capitale anglaise qu'il acquiert une grande notoriété, avec des œuvres comme son Concerto pour piano n° 4 "The Calm", qui fut donné quatre fois en l'espace de deux mois. Pendant cette période furent aussi créé ou une symphonie, deux ballets au (Haymarket) King's Theatre. Selon Fétis, il reste isolé par rapport à la société des artistes malgré ses talents, disparaissant, seul, dans la misère et méconnu... et nous ne connaissons rien des motifs. Selon d'autres, plus vraisemblablement, il reste dans une position enviable, toujours au contact avec les meilleurs compositeurs, musiciens ou personnalités ; pour preuves, les abondantes dédicaces de ses œuvres : par exemple Johann Peter Salomon ou Clementi. En outre, il tirait bon prix de ses opus. Il se consacre à l'enseignement et eut pour élèves le distingué Cipriani Potter, futur directeur de la Royal Academy of Music et, en écriture, le compositeur et pédagogue anglais Charles Naete, qui lui dédia sa grande sonate opus 1 (1808) et fut co-fondateur de la Philharmonic Society. Ses élèves le décrivent comme exigeant, mettant l'accent sur une technique rigoureuse.
En 1808 paraît la grande sonate pour pianoforte, opus 41 intitulée "Nec plus ultra" en raison de ses difficultés techniques, et où figurent des variations sur "Life let us cherish", texte du poète suisse Johann Martin Usteri (1763-1827) et thème de Mozart. Son concurrent, Dussek (ou plutôt ses éditeurs), qu'il a rencontré à Hambourg en 1799 à la faveur d'une réédition, rebaptise ironiquement "Plus Ultra" sa propre sonate pour piano opus 64 (C. 221), "Le retour à Paris".
En 1808 à Leipzig, Breitkopf & Härtel publient les deux symphonies opus 40 et 41.
Joseph Woelfl meurt subitement, à Great Marylebone Street, à Londres, âgé seulement de trente-huit ans, le jeudi 21 mai 1812. Le Morning Chronicle l'annonce le 23 mai. Mais pendant deux ans encore, à cause sans doute du blocus continental imposé par Napoléon, qui empêche le journal de rendre compte de la vie musicale de Londres, l' Allgemeine Musikalische Zeitung maintenait qu'il était encore en vie, et ce n'est qu'en 1816 que ce journal annonce officiellement le décès du célèbre musicien. Sa disparition précoce fut à la source de nombreuses histoires plus ou moins rocambolesques. Sa veuve, se remaria avec un hauboïste à Franckfort.
Style
Le style des œuvres de Joseph Woelfl oscille entre Mozart, Haydn, Clementi et même Schubert ; à l'audition cependant, il ressort surtout une forte personnalité, et toute comparaison tombe... Même si Kretzschmar le décrit : "plaisant, aimable, quelque fois intimiste, mais négligeant et sans originalité."
Bien que Joseph Woelfl ait voulu se construire une réputation de compositeur d'opéras, son Der Hollenberg par exemple souffre de la médiocrité du livret de Schikaneder.
Ses œuvres pour piano ont été jouées plusieurs dizaines d'années après sa disparition et ce n'est que lors de l'apparition de virtuoses de la génération de Schumann que ses pièces se sont enfoncées dans la nuit de l'histoire... avant que les disques de la pianofortiste Laure Colladant ne les redécouvrent enfin. Sa sonate pour flûte opus 35 en revanche a été considérée comme à la hauteur des artistes amateurs et a traversé le temps.
De la même génération que Beethoven, Woelfl incarne une époque de mutation instrumentale profonde, qui passe du clavecin au pianoforte jusqu'au moderne piano et un chaînon dans l'invention du virtuose romantique (par exemple Liszt). Sa méthode constitue d'ailleurs sans doute le socle du piano virtuose du 19ème siècle.
D'après Wikipedia.fr car je n'ai rien trouvé de plus complet sur Wölfl | |
| | | Joachim
Messages : 664 Points : 814 Date d'inscription : 20/08/2007 Age : 78 Localisation : Nord
| Sujet: Re: Joseph WOELFL (Wöelfl) (1773-1812) Lun 9 Nov - 12:21 | |
| Catalogue des œuvres
Le catalogue de J. Woelfl comprend aussi des mélodies, des danses et une méthode de pianoforte intitulée : "School for the pianoforte" comprenant une centaine d'études. Certains opus sont utilisés plusieurs fois pour différentes œuvres comme l'opus 25, ce qui ne facilite pas l'établissement d'un catalogue, qui comprend environ 350 œuvres.
Œuvres pour piano
Une soixantaine de sonates en tout
Deux Sonates op. 1 (vers 1786, éd. Offenbach, 1795) Trois Sonates op. 3 (1797, éd. Vienne, sans date) n° 1 en la mineur (Allegro - Adagio ma non troppo - Presto. Rondo) n° 2 en ré majeur (Allegro - Andante con variations - Rondo. Allegro) n° 3 en la majeur (Allegro - Largo - Finale. Presto) Trois Sonates op. 15 (1798, dédié au Prince Louis Ferdinand) n° 1 en mi bémol majeur (Allegro - Largo, Prestissimo, Largo, Prestissimo) n° 2 en si bémol majeur (Allegro - Andante - Scherzo. Allegro, Trio - Finale. Allegretto, Thème & variations) n° 3 en mi majeur (Allegro moderato - Andante - Finale. Allegro) Sonates op. 19 Trois Sonates op. 22 Sonate en ut mineur, op. 25 (1803, Éd. Nägeli Paris, 1805) (Introduzione. Adagio - Fuga. Allegro - Sonata : Allegro molto - Adagio - Allegretto) Trois Sonates op. 27 (1803 Éd. Paris) Trois Sonates op. 28 (Éd. Offenbach, Paris 1805, dédié à la Comtesse de Borosdin) n° 1 en sol majeur (Allegro - Andante - Allegro molto) n° 2 en ré majeur (Andante. Tema con variazioni - Minore - Rondo) n° 3 en si mineur (Allegro - Adagio - Presto) Trois Sonates op. 33 (1807 Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig ; Clementi, Londres) n° 1 en ut majeur (Allegro con Spirito - Andante con moto - Rondo. Allegro molto) n° 2 en ré mineur (Allegro - Andante - Alla Polacca) n° 3 en mi majeur (Allegro - Andante Cantabile - Rondo. Allegretto) Sonate op. 36 (Londres, 1806) Sonate op. 38 (avant mars 1808, éd. Offenbach, sans date) Sonate Non Plus Ultra, op. 41, avec air & variations sur « Life let us cherish » (Nägeli's song Freut euch des Lebens) (Éd. J. Lavenu, Londres, dédié à Miss E. Binny) Sonate op. 50 "Le diable à quatre" (Éd. Offenbach, sans date) Trois sonates op. 53 (Éd. Offenbach, sans date) Trois sonates op. 54 (Éd. Offenbach, sans date) n° 1 en sol majeur n° 2 en la mineur n° 3 en ré majeur Trois sonates op. 55 (Éd. Offenbach, sans date) Sonate op. 58 (Éd. Leipzig, sans date) Sonate op. 60 (Éd. Offenbach, sans date) 2de divertissement, op.61 (Offenbach, n.d.) Sonate op. 62 (Éd. Offenbach, sans date) Grande Sonate en ut mineur (Allegro molto - Adagio - Allegretto), op posth ou 26a
Des pièces détachées tels que Fantaisies, Rondos, Fugues ou préludes, dont : Fantaisie & Fugue pour pianoforte, op. 9 (dédié à Monsieur de Sermentot) Fantaisie, op 18/3 Divertissement Venus en voyage, op. 59 (avant 1812, éd. Leipzig & Berlin, sans date) 2éme divertissement, op.61 (Offenbach, n.d.)
15 thèmes variés dont :
Neuf variations sur l'Air de Figaro par Mozart : Se vuol ballare Signor Contino (Éd. Hoffmeister, Vienne) Grande sonate sur Cosi fan tutte de Mozart (pour harpe ou piano) Des valses (Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig)
Méthode de pianoforte, contenant 50 exercices, op. 56 (avant 1810, éd. Offenbach, sans date)
Quatre mains
Sonate, op 17 (1803) 3 Duos, op 45 Sonate, op 46 Sonate, op 69
Deux pianos
Grand Duo pour deux pianos, op. 37 Andante Et Deu (Éd. Érard, Paris)
Duos
35 sonates pour piano et violon
3 Sonates opus 2 (1796) 3 Sonates opus 7 (1800) 3 Sonates pour pianoforte et violon, sur des thèmes de la Création de Haydn op. 14 (Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig 1801) 3 Duos opus 16 (piano et violon avec violoncelle ad libitum, v 1800) Deux Sonates pour pianoforte et violon, op. 18 (Éd. Sicher, Paris) 3 Sonates opus 19 (v 1802) 3 Sonates progressives opus 24 (1803) Deux Sonates pour pianoforte et violon (accompagnement de violoncelle), op. 25 (avant août 1803, éd. Vienne, sans date) Sonate pour pianoforte et violon op. 28 / op. 27 n° 3 (avant août 1803, éd. à Paris, sans date, Offenbach (comme op. 28)) Trois Sonates pour pianoforte et violon, op. 34 (Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig) Trois Sonates pour pianoforte et violon, op. 35 Trois Sonates pour pianoforte et violon, op. 47 (Éd. Londres, 1806) Trois Sonates pour pianoforte et violon (accompagnement flûte et violoncelle), op. 48 (avant septembre 1810, éd. Leipzig, sans date) Sonate pour pianoforte et violon, op. 67 (Éd. Offenbach, Paris) Sonate pour pianoforte et violon, op. 68
Grand Duo (Sonate) pour violoncelle et piano en ré mineur, op. 31 (Éd. Érard, Paris 1805, dédié à Madame Hollander) (Largo - Allegro molto - Andante - Finale. Allegro)
Duos pour pianoforte et harpe en fa majeur, op. 29 (Éd. Paris 1804, dédié à Madame Cléry) (Largo-Allegro, Andante, Rondo) Duos pour pianoforte et harpe en si bémol majeur, op. 37 (Éd. Paris 1805, dédié à Dizi) (Allegro moderato, Andante, Rondo) Duos pour pianoforte et harpe en mi bémol majeur, op. 44 (Londres, 1807) (Adagio-Allegro, Andante [un poco allegretto], Finale) Duo pour piano et harpe en fa majeur, op 57
Trois sonates pour piano avec accompagnement de flûte, op. 11 (avant le 3 mars 1800, éd. Leipzig, sans date) Sonate pour flûte et pianoforte, op. 13 (Éd. Diabelli, à Vienne) Sonate pour flûte et pianoforte en ré majeur, op. 27 (Allegro - Polonaise) Trois Sonates pour flûte (ou violon) et pianoforte, op. 34 (avant mars 1807, éd. Leipzig, sans date) Trois Sonates pour flûte et pianoforte, op. 35 (avant août 1807, éd. Leipzig, sans date) 3 Sonates pour flûte et piano, op 47 (1806) Sonate pour flûte et piano à 4 mains, op 42 (1810) Sonate pour flûte et harpe, op 52 (1810)
Trios
Trois grands trios pour pianoforte, violon et violoncelle, op. 5 (dédié à Joseph Haydn, Éd. Augsbourg chez I. C. Gombart et Comp. 1798) Trois grands trios pour pianoforte, violon et violoncelle, op. 23 (Éd. Erard, Paris 1800) 3 Sonates pour piano, violon, violoncelle, op 25 (1803) Deux Trios pour clarinette et basson (Éd. Steiner, Vienne) Trio pour piano et 2 cors Trio pour piano, flûte et violoncelle en ut majeur, op 66
Quatuors à cordes
Trois quatuors op. 4 (Éd. Offenbach, Paris 1796 et 1797, rééd. 1798 et 1805) n° 1 en ut majeur (Allegro - Allegretto - Menuetto e Trio - Finale. Prestissimo) n° 2 en fa majeur (Allegro - Andante con moto - Menuetto. Allegro - Finale. Allegro ma non troppo) n° 3 en ut mineur (Allegro - Menuetto, Trio - Adagio ma non troppo - Presto) Six quatuors op. 10 (Éd. Naderman, Paris 1799) Trois quatuors op. 30 (Éd. Érard, Paris 1805) n° 1 en mi bémol majeur (Allegro - Adagio - Minuetto. Allegro - Finale. Allegretto) n° 2 en ut majeur (Allegro - Minuetto. Allegro - Adagio ma non troppo - Finale. Allegro) n° 3 en ré majeur (Allegro - Minuetto. Allegro - Andante un poco Allegretto - Prestissimo)
Divers chambre
6 Sonates pour 2 hautbois, 2 bassons et 2 cors, op 3 Sextuor pour 2 hautbois, 2 bassons, 2 cors et contrebasse en ré majeur (1800) 6 Menuets pour 2 cors, 2 hautbois, basson, 2 violons,et basse continue
Concertos pour piano 7 Concertos et deux autres pièces
Concerto n° 1 en sol majeur, op. 20 (Éd. Naderman, Paris ca. 1802/03) 11 - Dédié à Friedrich Heinrich Himmel (1765-1814). Concerto n° 2, op. 26 (Éd. Imbault, Paris) Concerto n° 3 en fa majeur, op. 32 (Éd. Naderman) Concerto n° 4, op. 36 (Breitkopf, Leipzig 1808) Concerto n° 5 en ut majeur, "Grand Concerto militaire" op. 43 (comp. 1799 ? - Éd. Johann André 1810, Clementi, éd. Offenbach 1816) - L'instrumentation emploi une trompette. Concerto n° 6 en ré majeur, "Le Coucou" op. 49 (Allegro moderato - Andante - Allegro molto « Le coucou ») (com. 1810, Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig 1811) - Le nom provient de l'intervalle de tierce répété deux fois, dans le troisième mouvement. Concerto n° 7 en mi majeur "Le Calme", op. 64 (Allegro Moderato - Andante - Rondo. Allegro) (Éd. Breitkopf & Härtel, Leipzig 1808 - Londres, 1812) Concerto da camera en mi majeur pour piano solo, deux violons, flûte, alto et violoncelle (Éd. Offenbach, sans date) Concerto pour violon et piano (vers 1800–01 - perdu ?)
Symphonies (Une troisième symphonie n'a pas été conservée).
Symphonie en sol mineur, op. 40 (Éd. Breitkopf, Leipzig 1803, dédiée à Luigi Cherubini) (Largo. Allegro - Minuetto - Andante con moto - Finale. Presto) Symphonie en ut majeur, op. 41 (avant mars 1808, dédiée à Johann Peter Salomon) (Allegro - Andante - Minuetto - Finale. Allegro assai) Ouverture en ré 12 Danses allemandes
Ballets
La Surprise de Diane ou Le Triomphe de l'amour, WoO 41 (Londres, Haymarket, 21 septembre 1805) texte de Rossi Alzire, WoO 44 (Londres, Haymarket, 27 janvier 1807) texte de Rossi d'après la pièce éponyme de Voltaire (Alzire ou les américains, 1736)12
Opéras
Der Höllenberg, opéra en 2 actes, WoO 2 (Vienne, Theater auf der Wieden, 1795) sur un livret de Schikaneder Das Schöne Milchmächen, oder Der Guckkasten, Singspiel en 2 actes, WoO 3 (Vienne, Theater auf der Wieden, 5 janvier 1797) texte de Joseph Richter (1749-1813) Der Kopf ohne Mann, Singspiel en 2 actes, WoO 6 (Vienne, Theater auf der Wieden, 3 décembre 1798) texte de Joachim Perinet Liebe macht kurzen Prozess, oder Heirat auf gewisse Art, WoO 12 (Vienne, Theater auf der Wieden, 26 mars 1798) Pasticcio sur un texte de Joachim [Ferdinand] Perinet d'après Johann Rautenstrauch (1746-1801), avec F. X. Süßmayr, Joh. Henneberg, M. Stegmayr, Hoffmeister, Seyfried, J. Haibl et Triebensee (1772-1846). Das trojanische Pferd, opéra-comique, WoO 25 (Hambourg, 1799) sur un texte de Heinrich Gottlieb Schmieder (1763–1811) L'amour Romanesque, opéra-comique en 1 acte, WoO 35 (Paris, Théâtre Feydeau, 3 mars 1804) texte de Jean Armand Charlemagne (1753-1838) Fernando ou les Maures, opéra-comique en 3 actes, WoO 36 (Paris, Opéra comique, 11 février 1805) texte de Hoffman / Bussy ?
Musique vocale
Gesänge am Klavier (Douze chants) avec accompagnement de piano (textes de A. von Imhof, Ramler..., éd. Leipzig, 1799) An Lina In einem kleinen Dörfchen, romance Auf die Namensfeier des Erzherzogs Karl pour soliste et chœur Six chansons anglaises (Éd. Londres, vers 1804)
Autre
Achève l'allegro final de la Fantasia and Sonata en ut mineur de George Frederick Pinto (1785–1806) (Éd. Samuel Wesley)
Œuvres inspirées par d'autres compositeurs
François-Joseph Dizi, Pas de deux pour flûte et harpe, extrait du ballet Alzire | |
| | | Joachim
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| Sujet: Re: Joseph WOELFL (Wöelfl) (1773-1812) Lun 9 Nov - 12:36 | |
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| Sujet: Re: Joseph WOELFL (Wöelfl) (1773-1812) | |
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