Rapporté par Silverstolpe en 1838, des faits datant de l'année 1797.
Une fois, en arrivant chez lui, je le trouvai en train de revoir le travail d'un élève. ...Haydn, après avoir examiné ce brouillon, y découvrit pour les instruments à vent une longue période de silence. Il dit alors une phrase aimable, et ajouta d'un ton mi-plaisant:"Les silences sont ce qu'il y a de plus difficile à écrire: tu as bien fait de chercher à savoir quels effets pouvait produire un silence prolongé"...
Marc Vignal imagine volontiers Haydn tenant ce genre de discours à Beethoven en 1793.