Version superlative en effet.
Dans l'Agnus Dei, le pianissimo de départ est impressionnant et le crescendo qui suit est d'une puissance incroyable. Le fortissimo qui accompagne le deuxième exposé de l'Agnus, c'est du grand art. Cette version est à la fois dramatique et recueillie. Quant à la fanfare terminale elle est remarquablement bien amenée. Fin toutes forces déployées.
Bravo!