Joseph Haydn
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Joseph Haydn

(1732-1809)
 
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 Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)

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Euclide-Orphée

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MessageSujet: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeMer 7 Fév - 23:17

Étonnante absence de ce personnage.
Mondonville est assurément une des plus grandes figures du baroque français, mais il est aussi assurément un des chaînons vers la création de la symphonie en France (qui avait déjà une riche tradition de musique purement orchestrale, avec des suites et autres "symphonies" assez mémorables). Esprit brillamment inventif, il est parfois de son vivant comparé à Rameau, en tous les cas une figure importante de la défense de la musique française lors de la querelle des bouffons.
Sa musique religieuse est absolument prodigieuse de profondeur et d'excentricité.

Petite biographie issue de Wikipédia :
Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville, baptisé à Narbonne le 25 décembre 1711 et mort à Belleville (Paris) le 8 octobre 1772, est un compositeur et violoniste français.
Quoiqu'appartenant à une génération ultérieure, Mondonville est contemporain de Jean-Philippe Rameau. Entre 1735 et 1737, on le trouve comme maître des violonistes aux « concerts de Lille ». Il s'installe à Paris en 1738 et est engagé comme violoniste et directeur au Concert Spirituel. Le motet Venite exultemus Domino, publié en 1740, lui vaut le poste de sous-maître de musique de la Chapelle, précisément du quartier du mois de juillet. En 1747, il épouse Anne-Jeanne Boucon, claveciniste célèbre à qui Rameau avait dédié en 1741 une de ses pièces de clavecin en concert reprenant une formule mise au point par Mondonville lui-même dès son opus III en 1734. Dans la querelle des Bouffons (1752 à 1754), il prend le parti de la musique française. À la même époque, il compose le livret et la musique de son opéra en occitan : Daphnis et Alcimadure.

Il compose 17 grands motets entre 1734 et 1755, dont seules neuf partitions nous sont parvenues. La musique de Mondonville se caractérise par son inventivité et son expressivité. On peut citer la lenteur hiératique du Dominus regnavit, l'impétuosité de Elevaverunt flumina, le lyrisme du Gloria patri ou le modernisme fougueux du Jordanis conversus est retrorsum.

Grâce à une grande maîtrise orchestrale et vocale, Mondonville a apporté au genre du grand motet — genre dominant du répertoire de la Chapelle royale jusqu'à la Révolution — une couleur, un dramatisme inhabituel, qui font de ses œuvres des créations remarquables de la musique baroque.



Outre les excellents conseils d'écoute de ses motets (ça vaut vraiment vraiment le détour !) de cette biographie j'attirerais dans un premier temps l'attention sur ses sonates pour clavecin accompagné (1734), grande source d'inspiration pour Rameau, que Mondonville a par la suite orchestré (partiellement) afin d'en faire des "sonates en symphonie" (je crois en 1748-9).
Mondonville - Sonates en symphonies:
Cela peut sans doute enrichir la perception de l'évolution de la musique orchestrale qui file jusqu'au classicisme (cela a pu prendre différentes formes suivant les pays). La dénomination "sonate en symphonie" est totalement pré-classique dans l'âme (par la forme).
L'air de rien Mondonville avait un sens du lyrisme excessivement développé, on revient sans retenue sur certains de ses arias (ou mouvements lents) mémorables. En voici par exemple 2 (ça évite d'avoir à écouter l'intégralité des symphonies présentées ci-dessus) :
Sonate op 3-6, Larghetto:
Sonate op 3-4, Aria Grazioso, version originale et réochestrée, une pièce hypnotisante et addictive vers laquelle je reviens souvent:

Ses sonates en trio valent aussi le détour. Ca permet aussi d'entendre un petit peu de contrepoint, bien qu'il ne soit pas aussi rigoureux que dans ses motets.
Sonate en trio op 2-1, Mi mineur:
Sonate en trio op 2-6, Do mineur:

On pourrait aussi citer les sonates pour violon, sonates pour clavecin et voix ou violon (une originalité là encore) ou autres oeuvres de musique de chambre toutes plus géniales les unes que les autres mais la liste pourrait devenir longue. C'est un compositeur à explorer.

Naturellement cette facette du personnage n'est qu'une petite partie de son génie et de sa grandeur musicale, l'homme ayant notamment brillé à l'église mais aussi à l'opéra. A de prochaines occasions j'ajouterais à la liste des extraits de motets ou d'opéra afin d'avoir un panorama plus large du compositeur, les motets étant peut être les plus flatteurs pour parler de Mondonville. Cela dit ils sont tous si géniaux qu'il est difficile de sélectionner.

A mes yeux Mondonville est un compositeur qui, même s'il regagne une certaine renommée de nos jours (notamment via ses motets), reste très largement négligé.
Tout en restant dans la lignée traditionnelle de la musique française son esprit moderne et très créatif, voisin de Rameau, en fait une figure tout à fait intrigante. On peut parfois se demander si l'étranger a pu avoir l'occasion de se familiariser avec les génie si singuliers et originaux de ces derniers représentants du baroque français.
Le mot de la fin peut revenir à Pierre Louis Daquin, affirmant : "Si je n'étais pas Rameau, qu'aurais-je de mieux à désirer que d'être Mondonville ?"
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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeMer 7 Fév - 23:58

Merci Euclide-Orphée pour cette présentation.
Ayant écouté la sonate en trio en mi mineur, je suis conquis par son charme.
Je ne connais pas la date de composition mais le style est résolument baroque.
La musique française du 18ème siècle ne manque pas de pépites.
Actuellement j'écoute en boucle les profondes sonates pour traverso et basse continue de JM Leclair et j'ai le bonheur d'en jouer une, opus II n° 8 en ré majeur.
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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeJeu 8 Fév - 1:32

Les sonates en trio de Mondonville sont des oeuvres de relative jeunesse, composées vers 1734.
Par la suite le compositeur s'est beaucoup plus focalisé sur l'opéra, cheminement finalement assez classique : on se fait un nom par de petites publications de musique de chambre, éventuellement à travers l'église, puis on fait son entrée sur scène.

Naturellement ce compositeur est totalement ancré dans le baroque français (avec entre autre Leclair que tu cites, il y a un magnifique génération de compositeurs à ce moment là, avec les Royer, Blavet, Corrette, Leclair, Mondonville, Rameau, Duphly) qui est en un sens stupéfiant par sa ténacité vu qu'il a survécu jusqu'à la mort des Rameau ou Mondonville, donc jusque dans les années 1760. On pourrait même objecter que les Balbastre et Duphly sont restés un peu baroques dans l'âme jusqu'à la fin (c'est un débat, disons que l'école du clavecin français a tenu jusqu'à la révolution avec des spécificités).
Quand on écoute d'un côté Abaris ou les Boréades, et de l'autre les premières symphonies de Haydn, on se dit qu'un monde séparait la France du reste de l'Europe !
Toutefois dans leur "archaïsme" au sens d'attachement forcené aux traditions, les français avaient en vérité beaucoup innovés et quand on y réfléchit bien beaucoup du baroque français se retrouve plus tard, volontairement ou non, dans de la musique nettement plus moderne, y compris jusqu'à Ravel et Debussy pour la musique pour clavier, mais par exemple dans les oratorios de Haydn, dans les choeurs de l'opéra classique ou romantique et j'en passe.

Leclair (a-t-il son propre sujet ? si non il faudra y remédier !) et Mondonville sont d'ailleurs d'excellentes figures pour démonter que l'école du violon français est trop peu considérée !
Mondonville a écrit des choses très intéressantes pour le violon (j'ai cru comprendre que vous étiez féru de cet instrument), et il convient de distinguer les pièces davantage axées clavecin (sonate pour clavecin accompagné d'un violon) de celles axées violon (sonate pour violon à proprement parlé).
Son corpus de sonates "les sons harmoniques" aurait de quoi attiser la curiosité de plus un violoniste.

Quelques extraits feront peut être mieux entendre l'intitulé de ce coprus de sonate.
Les sons harmoniques, Sonate N°1 en si mineur : Grave; Allegro; Aria Amoroso:
Les sons harmoniques, Sonate N°4 en la majeur ; Cantabile, je le partage car un mouvement de cette longueur, 11 minutes (contre des mouvements d'ordinaire de 3-4 minutes), n'est pas commun, surtout pour un air lent, pur, qui au final pourrait se fondre dans une symphonie classique sans difficulté:

Ces sonates datent de 1735 si je ne m'abuse.
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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeJeu 8 Fév - 12:30

J'ai vérifié JM Leclair est absent.
Si tu voulais bien faire un topo sur lui j'en serais heureux car c'est un compositeur que j'admire.

Je suis altiste amateur. Je joue sur un alto baroque équipé de cordes en boyau nu dans un groupe et nous nous cantonnons aux musiques du 17ème et 18ème siècles baroques.
Comme beaucoup de partitions de viole de gambe (basse de viole) sont écrites en clé ut 3, je peux les jouer à l'alto ce qui augmente considérablement mon répertoire.

Leclair et Mondonville ont du sens dans ce forum en tant que représentants de l'école de violon française que l'on peut comparer à l'école autrichienne représentée par Heinrich Biber et in fine le traité de violon de Leopold Mozart en passant par Joseph Haydn qui a un style violonistique original dès ses premières partitions, je pense en particulier aux quatuors à cordes Fürnberg opus 1.

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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeJeu 8 Fév - 21:49

Pour les intéressés, je recopie ici le catalogue de ses oeuvres, par catégorie et par opus quand il y en a, et avec les dates lorsqu'on les connaît. On peut noter le grand nombre d'oeuvres perdues, dont la moitié des grands motets et ses 3 oratorios.


Musique de chambre


(6) Sonates pour violon et basse continue op. 1 (1733)
(6) Sonates en trio pour deux violons ou flûtes avec la basse continue, op. 2, Dédiées à Monsieur le Marquis de la Bourdonnaye, gravées par Le Duc (1734)


Musique pour clavier accompagné

Pièces de clavecin en sonates op. 3 (six sonates pour le clavecin avec accompagnement du violon, transformées plus tard en 6 Sonates en Symphonies pour 2 violons, hautbois, basson et basse continue) (1734 - 1749)
Les Sons Harmoniques, 6 Sonates pour violon et basse continue, op. 4 ; la préface contient les premières sources écrites du jeu d'harmoniques (Paris et Lille, 1738)
(9) Pièces de clavecin avec voix ou violon, sur des textes des Psaumes op. 5 (1748)


Opéras

Isbé, pastorale héroïque, op. 6 (1742)
Bacchus et Erigone, opéra-ballet (1747)
Le Carnaval du Parnasse, ballet héroïque, op. 7 (Paris, 1749)
Vénus et Adonis, opéra-ballet (1752)
Titon et l'Aurore, pastorale héroïque, op 8 (Paris, 1753)
Daphnis et Alcimadure, pastorale "languedocienne", op. 9 (1754)
Les Fêtes de Paphos, opéra-ballet, op. 10 (1758)
Thésée (1765)
Les Projets de l'Amour, ballet héroïque (1771)


Grand Motets

Parmi les 17 grands motets composés par Mondonville, seuls neuf nous sont parvenus :

Dominus regnavit decorem (Psaume XCII) (1734)
Jubilate Deo omnis terra (Psaume XCIX) (1734)
Magnus Dominus (Psaume XLVII) (1734)
Cantate domino (Psaume CXLIX) (1743)
Venite exultemus Domino (Psaume XCIV) (1743)
Nisi Dominus ædificavit (Psaume CXXVI) (1743)
De Profundis (Psaume CXXIX) (1748)
Cœli enarrant gloriam Dei (Psaume XVIII) (1750)
In exitu Israel (Psaume CXIII) (1753)

motets perdus

Lauda Jerusalem (1739)
Bonum est (1745)
Qui confidunt (1745)
Laudate Dominus omnes gentes (1747)
Quam Dilecta (1753)
Laudate Dominum quoniam bonus (1756)
Exulte justi (1758)
Omnes gentes (n.d.)


Petits motets à voix seule et basse continue

Regina coeli (1755)
Simulacra gentium (1759)


Oratorios (perdus)

Les Israélites à la Montagne d'Oreb (1758)
Les Fureurs de Saul (1759)
Les Titans (1761)


Divers

Airs sérieux et à boire
Concert à 3 choeurs (1738), perdu
Concerto pour violon (1739), perdu
Concert pour voix, violon, choeur et orchestre (1752), perdu
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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeJeu 8 Fév - 22:23

J'aime beaucoup les "sonates en symphonies" op 3 (ou op 3b) qui sont une quasi orchestration des sonates pour violon op 3 (1734) effectuée quinze ans plus tard, en 1749.


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MessageSujet: Re: Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772)   Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (1711 - 1772) Icon_minitimeJeu 8 Fév - 23:18

Tristes pertes que toutes ses oeuvres perdues de Mondonville mais c'est si commun dans l'histoire de la musique.

Notons deux noms intéressants parmis les opéras :
Titon et l'Aurore, pastorale héroïque, op 8 (Paris, 1753)
Daphnis et Alcimadure, pastorale "languedocienne", op. 9 (1754)


Le premier fut un opéra déterminant lors de la querelle des bouffons et entérina la victoire du camp du roi (la musique française) avec son succès fracassant qui sera reconduit par la nouvelle version triomphale et définitive de Castor et Pollux en 1754 et l'ordre de chasser les italiens de la ville. Certains prétendent néanmoins que le succès de l'oeuvre de Mondonville fut artificiel, avec des membres de l'armée pour servir de public et l'interdiction d'entrer dans la salle pour les détracteurs de la musique français. Disons qu'on entend de tout sur cette époque et qu'un certains nombres d'histoires étonnantes peuvent être trouvées (qu'elles soient vraies ou non ça montre l'extrêmisme dans lequel la querelle a pu sombrer : d'une violence et bassesse inouïe).

Le second est un opéra en patois local, de quoi être assez dérouté il faut le dire !
On a l'impression d'être capable de comprendre cette langue sans y parvenir, c'est frustrant.
Si d'aucuns veulent s'essayer aux charmes de l'occitan chanté (c'est très beau, une sorte de mélange élégant de français et d'italien) :
Mondonville - Dafnís e Alcimadura:


Pour partager un motet, ce qui est quand même le domaine principal pour lequel Mondonville conserve une certaine notoriété, j'imagine que Dominus Regnavit ou In Exitu Israel sont les plus connus.
Mondonville - Dominus Regnavit:
Quand on se dit que dès 1734 il place la barre aussi haut (ça permet d'appréhender le genre et Mondonville sans sombrer dans l'excès de fantaisie cela dit) on peut être assuré qu'il y a beaucoup à découvrir dans ses motets. L'originalité va par ailleurs crescendo avec le temps, avec In exitu Israel par exemple on atteint quand même ce qu'on pourrait considérer comme une rareté parmi la musique baroque, un grand chef-d'oeuvre, mais une oeuvre qui semble un peu extra-terrestre.
Mondonville - In exitu Israel:
Ailleurs en Europe on devait regarder avec de gros yeux les extravagances de la chapelle royale et du concert spirituel.
En un sens on peut tout à fait écrire une filiation entre ce type de compositions et les oratorios de la fin du classicisme, par exemple les saisons de Haydn avec son côté descriptif si français.

La perte de ses oratorios tardifs est un drame, assurément avec l'oratorio Mondonville avait dû trouver le moyen d'expression parfaite, permettant de combiner les qualités de ses motets et de ses opéras, le tout avec la maturité de toute une carrière de compositeur.

Je m'en vais de ca pas créer quelques profils de compositeurs de la fin du baroque français ce qui dans l'absolu permet au moins de visualiser ce qui se faisait encore ailleurs en Europe alors qu'Haydn, naissait, commençait à apprendre la musique voire à composer.
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